Le titre de ce billet est aussi celui d’un chanson de Jean Ferrat que j’associe au tableau dont il est question aujourd’hui.
Il s’agit d’un paysage industriel peint par Theodore Major à qui je rends hommage avec cet Escargolio à la façon de…
Je ne sais pas d’où me vient ce goût pour les paysages industriels. C’est peut-être la nostalgie de l’enfance, le souvenir d’une autre vie où dans un environnement un peu terne on rêvait d’un ailleurs au soleil, plein de vert de bleu. Quand j’y pense aujourd’hui, je me dis que malgré un décors peu chatoyant, tout me semblait pourtant plus facile. La nostalgie, quoi !
J'aimerais me saouler d'une goulée d'air pur Droit sous des palmeraies que le soleil parfume Boire loin de Paris l'alcool de l'aventure Là-bas dans l'or du sable et l'argent de l'écume Là-bas tellement loin qu'on dirait le futur Jean Ferrat - L'adresse du bonheur
Oooooh ! Superbe, Mr Kiki !
Magnifique, j’adore
le dessin a la fois sombre et poetique
bravo