Blog et (capilli)culture

Depuis quelques jours, une étrange rumeur circule dans la blogosphère. On peut lire par endroit qu’à l’instar du monoï et de l’aloès,  Cinquième de couverture, le blog de Madame Caro[line], a des vertus capillaires extraordinaires…

L’information semble si invraisemblable que j’ai voulu vérifier ce qu’il en était exactement, mais étant très occupé ces derniers temps, je n’ai pas pu  me rendre moi-même sur Cinquième de couverture. J’y ai donc envoyé Escargolio afin de voir si ce blog est vraiment bon pour les cheveux.

Et bien aussi incroyable que cela puisse paraitre,  c’est vrai !

En revenant de sa promenade sur Cinquième de couverture, Escargolio était tout métamorphosé. Non seulement il avait une lueur d’intelligence dans le regard, mais en plus ses cheveux avaient poussé d’au moins six centimètres. Ils sont maintenant habités par l’esprit du bambou, ce qui leur donne à la fois souplesse et robustesse. Cinquième de couverture a également eu effet inattendu sur la coquille d’Escargolio. Celle-ci a miraculeusement a retrouvé son teint de jeune fille.

Escar poilu

Devant un tel prodige, je ne peux que soutenir Cinquième de couverture qui à été sélectionné pour le grand prix de blogueuses ELLE 2010 en lui donnant mon vote quotidien. Vous aussi soutenez Cinquième de couverture. Si ce blog obtient le prix, Escargolio acceptera de poser nu dans le calendrier des dieux du stade…

The Isil horror picture show

Il y a un peu plus d’un an lors d’une expédition en Écosse, Madame Isil découvrait un mystérieux animal d’une espèce jusque là inconnue : La zombiche de Lochranza. Cette étrange créature qu’on ne rencontre que sur l’ile d’Arran semble à première vue  totalement inoffensive. Mais ne vous y fiez pas. Ce qu’on pourrait prendre pour un paisible mammifère herbivore s’avère être en réalité un véritable monstre possédant des pouvoirs psychiques terrifiants. Qui s’en approche de trop près se retrouve immédiatement en état d’addiction. Madame Isil l’a appris à ses dépends. Depuis son retour d’Écosse, elle est hantée par le souvenir de cette bête immonde et une pulsion incontrôlable la pousse à laisser régulièrement sur son blog des traces de zombiches. Tenez, il y a à peine deux semaines, elle organisait un concours de science-fiction ayant pour thème le zombiche-robot, c’est vous dire si le mal est grand…

Ne pouvant me résoudre à laisser Madame Isil dans un tel état, je cherche un moyen de la guérir de sa zombichomania. Pour l’instant la seule piste qui me semble valable est de combattre le mal par le mal. Puisque le traumatisme est d’ordre psychique, il faudrait provoquer chez elle un choc psychologique qui pourrait peut-être la libérer de l’emprise de la zombiche. J’écris “peut-être” car rien n’est sûr. Le traitement est expérimental et je ne garantis pas le résultat, mais j’espère bien obtenir une réaction émotionnelle intense en combinant son obsession pour les zombiches et sa passion pour les films pleins grosses bêtes qui bouffent les gens. N’ayant trouvé aucun titre correspondant à ces critères dans les répertoires du 7ème art et ne me sentant pas capable de réaliser moi-même un film, il ne reste plus qu’à attendre qu’un réalisateur s’intéresse à ce projet… Autant dire tout de suite qu’on n’est pas près de voir disparaitre les traces de zombiches du blog de Madame Isil…

En attendant, j’ai fait l’affiche. Peut-être un premier pas sur le chemin de la guérison…

La nuit des zombiches robots