Henri de Toulouse Lautrec décrivait dans ses peintures et ses croquis la vie des cabarets et des bordels du Montmartre de la fin du 19eme siècle. Je regarde certains de ses dessins avec un brin de nostalgie. Ils me rappellent un temps révolu où je traînais moi-même dans les bistros parisiens. C’était le temps des études. Le lycée portait le même nom que le café d’à coté. C’est là qu’est né Escargolio, il y a plus de trente ans.
Et me voici écoutant Frehel chanter “Où sont-ils donc” et Reggiani interpretant “Paris ma rose” d’Henri Gougaud. Nostalgie quand tu nous tiens…