L’adresse du bonheur

Le titre de ce billet est aussi celui d’un chanson de Jean Ferrat que j’associe au tableau dont il est question aujourd’hui.

Il s’agit d’un paysage industriel peint par Theodore Major à qui je rends hommage avec cet Escargolio à la façon de…

Je ne sais pas d’où me vient ce goût pour les paysages industriels. C’est peut-être la nostalgie de l’enfance, le souvenir d’une autre vie où dans un environnement un peu terne on rêvait d’un ailleurs au soleil, plein de vert de bleu. Quand j’y pense aujourd’hui, je me dis que malgré un décors peu chatoyant, tout me semblait pourtant plus facile. La nostalgie, quoi !

J'aimerais me saouler d'une goulée d'air pur
Droit sous des palmeraies que le soleil parfume
Boire loin de Paris l'alcool de l'aventure
Là-bas dans l'or du sable et l'argent de l'écume
Là-bas tellement loin qu'on dirait le futur

Jean Ferrat - L'adresse du bonheur

C’est pas fini !

Certains de mes amis d’internet s’inquiète de ne plus me voir donner des nouvelles. Soyez rassurés, tout va bien. Je suis juste occupé ailleurs. Comme pour la mobilisation contre la réforme des retraites, je ne lâche pas l’affaire. J’ai d’ailleurs un Escargolio à la façon d’Ernest Ludwig Kirchner qui traîne dans mon ordinateur depuis quelques semaines. L’image est inspirée d’un autoportrait de l’artiste s’intitulant Der Trinker (le buveur).

Je connais plusieurs tableaux qui ont pour thème le buveur. Je pourrais en faire une série. Idée à creuser…